26 janvier 2010
Qu'il ne se sauve.
Il faudrait noyer dans leurs larmes, les garçons qui pleurent.
Nos nerfs se frôlent, s'effritent. Je sombre, lamentable, dans un silence, mon visage tourne au vide. Mes joues glissent sous les larmes. La nuit tombe sur mes insomnies. Sans raison, mais très. Je descends doucement vers des jours pâles.
Sinon, il est revenu.
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